En 2013 une locataire d'un grand bailleur toulousain emménageait dans un logement en RDC présenté comme accessible aux personnes handicapées. Mais surprise pour aller sur la loggia donnant sur le salon et la cuisine, une marche de près de 30 cm à franchir ! Alors que cette locataire souffre des genous, est travailleur handicapé, et que sa fille est en situation de handicap (titulaire de la PCH) et qu'une des ses amis proches est en fauteuil !

Odile Maurin, qui représentait alors l'APF 31, se renseigne et découvre que l'immeuble dont le permis de construire date d'après 2009, aurait du avoir cette loggia accessible avec un différence de niveau de 2 cm maximum. Mise en demeure suivra au bailleur qui prétendra respecter la norme. L'APF ne voulant pas de fait mener des contentieux pour défendre les droits,c'est finalement la locataire, avec Handi-Social partie civile, qui saisira la justice, amenant le bailleur à négocier, beaucoup moins sûr soudainement d'avoir respecté la loi. Bientôt plus d'infos avec le procès en septembre !

Sachant que d'autres locataires, du parc privé ou du parc social, sont dans la même situation, et que l'union fait la force, rejoignez-nous ! 

Handi-social appelle à témoigner (possibilité d'anonymat si demandé) les locataires handicapés logés dans des immeubles récents (permis de construire après 2009 et construction achevées depuis 2010 mini) et qui subissent aussi des logements qui ne respectent pas la norme ou qui ne sont pas adaptés à leur handicap.

On peut ausis citer par exemple des salles de bains mal aménagées inutilisables en fauteuil roulant, des chaudières inaccessibles, des interphones avec menu déroulant inutilisables par des aveugles, des décteurs de fumées sans flash lumineux pour les sourds, des éviers sou lavabos sans espace dessous, etc....

N'hésitez à nous contacter sur  : contact@handi-social.fr

Nous vous indiquerons s'il est possible d'agir pour faire cesser le préjudice, obtenir votre relogement et/ou être indemnisés.